Alatariel, Waky, je suis relativement d'accord. Je suis juste percutant et un peu provocateur pour secouer les esprits tièdes ou lobotomisés au risque de vulagariser ma pensée. Ne pas être pédant mais taper fort en quelques mots voilà le défi. Je ne peux pas argumenter en quelques lignes vouées à être qu'une présentation de blog. Je propose des pistes de réflexions. J'anticipe aussi sur les dérives, oui justement, du libéralisme comme processus historique. Un totalitarisme d'un genre subtil aujourd'hui se dessine doucement. La traçabilité des individus par la surveillance électronique, biométrique, la diabolisation et le lynchage à outrance des esprits libres, les esprits critiques, ceux qui ne se soumettent pas au au diktat de la pensée unique... qui ouvrent des portent interdites. L'individualisme de consommation....L'impérialisme americano-sioniste... bref résumons clairement avec Slavoj Žižek :
Le capitalisme, c’est la cible, derrière la critique de la démocratie ?
Soyons clair : l’Europe de l’après-guerre a connu un niveau moyen de bonheur jamais vu. Mais quatre problèmes majeurs viennent déséquilibrer le modèle démocratico-libéral.
1) Les «sans-part», les sans-papiers, sans-abri, sans-emploi, ceux qui ne participent pas à la vie de la communauté, dont l’Etat ne s’occupe plus.
2) La propriété intellectuelle, que le marché ne parvient plus à réguler, comme le montre le destin délirant de Bill Gates, fondateur de Microsoft.
3) L’environnement, dont la régulation peut assurer le marché lorsque la pollution est mesurable, mais pas quand le risque devient incalculable - Tchernobyl, les tempêtes…
4) La biogénétique : est-ce au marché de dire où commence l’humain ?
Dans ces quatre domaines, ni la démocratie libérale, ni le capitalisme global n’apportent les bonnes réponses.
Je suis d'accord, peut-être que je vulgarise trop ma pensée avec des termes forts.