Ecrire, encore ...

Bonsoir à tous, ce soir j'ai envie d'écrire encore un peu, mais pas de poème. A croire que ce mode m'a passé.

Pourquoi ? Cette question que je me pose encore et toujours dans ma tête mais qui n'a toujours pas de réponse. Je me demande ce que je vais devenir dans ce monde qui me parait si étrange. Je m'oublie dans la musique qui serait un paradis iréel dans un enfer bien concret. Je me retrouve aujourd'hui à espérer... non, à attendre quelquechose qui devrait arriver. Mais quand ? C'est aussi ca que je me demande à chaque instant qui fait que je la vois. Le quand qui saurait éclaircir un mystère qui a toujours su rester entier même si le voile se lève peu à peu. Je ne me reviens parfois même pas à moi même. Se regarder comme i, étranger que l'on aurait jamais connu. Ce n'est pas vraiment une crise d'identité, mais plutot une crise de connaissance. Se savoir capable, mais en même temps impuissant. Savoir que c'est possible mais que l'on aura pas les moyens de le vivre. La vie est quelquechose de ma foi bien particulier. On la vit sans le savoir, et peut être que c'est dans notre malheur que l'on saurait être heureux. Peut être qu'il y a longtemps que l'on ne sait plus ouvrir les yeux. Je n'en sais rien moi même et pourtant c'est peut être la chose la plus cruciale que je devrais savoir aujourd'hui. Et c'est dans la musique que je concois mon paradis mais aussi mon enfer. Savoir que l'on ne peut pas vivre tous ses rêves est une réalité que l'on découvre très vite. Et si l'on fait l'impasse dessus on se retrouve piégé dans une bulle de cristal que l'on arrive pas à briser. Mais pour le moment il faut faire avec ce que l'on a et vivre pleinement avec nos illusions. On est plus à ca près. On peut vivre dans un monde de brume et de rêves mais à force est ce que quelqu'un saurait en sortir ? Je ne veux pas vivre d'illusions qui sauraient me perdre un jour mais parfois la solitude vous pousserait en enfer que la musique vous montrerait le paradis. Triste réalité dans un monde qui a des fois du mal à vous offrir un siège. Mais finallement la meilleur question à se poser ne serait elle pas plutot comment ? Comment est ce qu'on peut en arriver là alors qu'on ne l'a pas souhaité ? Comment est ce qu'on peut rater tant de choses alors qu'on n'essaye simplement que de vivre ? Et c'est peut être la question qui apporte la réponse la plus doulouereuse. Mais la douleur de la réalité est de celle dont on ne peut pas se passer. On sait souffrir pour la réalité alors que l'on se cause de la peine dans notre imagination. Drole de paradoxe que je ne sais pas expliquer.

Si ce texte vous a plu, j'vous laisse réagir.

euh... Tu pourrais pas t'exprimer comme tout l'monde pour exprimer tes pensées???


Perso c'est le genre de paradoxe que je cherche plus à expliquer car la seule reponse plausible que tu vas trouver c'est un bon tit mal de crane

Carpe Diem

Le but c'est d'écrire quelque chose avec un certain coté "artistique", aps écrire betement un traité philosophique qui a deja endormi tant d'étudiants sur les bancs d'la fac.


plaisir de lire ...